Des stagiaires , on en voit partout , dans les cuisine des restaurants, dans les usines etc etc...

Cela étant ,le stage dont vous allez découvrir les arcanes dans ce texte est d'une tout autre espèce , rien a voir avec l' Assedic,celui qui le suit a renoncer a toute dignité humaine, il n'est plus qu'un jouet dont s'amusent quelques Dames.Et tout particulièrement ,

Ma Maîtresse , qui a décidé de lui apprendre que le S/M et la D/s ce n'est pas du tout ,mais alors pas du tout ,une plaisanterie ... Il s'en souviendra ,notre néophyte , de son stage de formation...ou de déformation !!!

1. il était presque onze heures , ce samedi quand j'arrivai à l'entrée de la propriété Ma Maîtresse . Je sortis de ma voiture pour m'annoncer , la gorge nouée ,à l'interphone: Surpris ,j'entendis une voix d'homme :

• Garez vous dans le cour et attendez qu'on vienne vous cherchez

Le portail s'ouvrit ; je roulai une centaine de mètre sur un chemin entouré d'arbres avant de déboucher devant un joli manoir. Sur le coté de la cour ,se trouvaient des bâtiments semblables a des écuries Je fus étonné en découvrant plusieurs véhicules garés. A l'évidence , il y avait déjà d'autres personnes...

Maîtresse avait -elle invité des amis, pour que je m'exhibe devant eux? Cette idée me faisait frissonner. Dans tous les scénarios que j'avais imaginés , je n'avais pas pensé a celui la Ayant coupé le moteur , j'attendis , comme on me l'avait demandé. Le silence régnait , juste coupé par des chants d'oiseaux Mon coeur battait plus fort.Pour me calmer,j'allumai une cigarette . Et je repensai à la manière dont tout cela avait commencé.. .. J' attendais depuis un quart d'heure environ

Je venais d'allumer une deuxième cigarette quand je fus tiré de ma rêverie en voyant s'approcher un grand noir J'écrasai ma cigarette dans le cendrier et sortis de ma voiture L'idée que je pouvais être victime d'un canular m'effleura un instant Je n'eus pas le temps de poser de questions Sans me dire bonjour ,l'homme m'adressa une brève injonction:

• Déshabillez vous entièrement, et laissez vos affaires dans la voiture

Je fus pris de court J'avais honte d'avoir à me mettre nu dehors et devant un homme Cette situation me semblait plus humiliante que si je m'étais déshabillé devant ma futur Maîtresse. Pourtant ,et j'en m'en étonnai moi même , je le fis sans broncher Ce Noir m'en imposait ,je me voyais mal lui désobéir Dés que je fus nu ,l'homme me tendit des mules en cuir Puis il ferma mes couilles bien lisses un gros cadenas argenté dont le contact me fit frissonner Je notai qu'une laisse en métal terminée par un anneau étais reliée à l'arceau du cadenas

Cette brutal entrée en matière était assez éloignée de ce que j'avais imaginé à partir de mes lectures Je ne m'attendais pas à être mis en laisse ,même pas comme un chien , puisque j'étais attaché par les couilles Je sentais mon sexe durcir , ce qui accroissait mon sentiment de honte L'homme ne parut pas s'en apercevoir

Il me fit mettre les bras dans le dos , entrava mes poignets avec des menottes pareilles à celle utilisées dans la police Le contact du métal sur ma peau ,le bref déclic des serrures me firent bander plus dur Le Noir prit la laisse par la poignée de cuir

-Suivez moi

J'étais heureux en dépit de mon inquiétude , car je commençais à vivre les fantasmes qui m'obsédaient depuis si longtemps L'homme me conduisit non pas vers le manoir ,mais vers le bâtiment qui ressemblait à une écurie Il me fit entrer par une petite porte La grande entrée principale semblait avoir été condamnée Je pressentais que j'allais découvrir le "donjon" ou officiait Ma Maîtresse Je frémis en la voyant sur le seuil de la porte Je m'agenouillai en articulant avec respect un " bonjour ,Maîtresse"

• A partir de maintenant , tu es à mes ordres Je ne veux pas t'entendre prononcer un seul mot Sauf bien entendu , si je te le demande

Je tenais le visage penché vers le sol J'avais aperçus cette femme dans un éclair , mais son image restera gravée dans ma mémoire Un peu forte comme le montrait la photo Ma Maîtresse portait un body en cuir noir ,zippé de haut en bas sur le devant , et des bottes montant à mi cuisses Dans la main droite elle tenait une fine cravache et un large collier de chien clouté J'avais croisé ses beaux yeux verts , mais sans oser soutenir son regard sévère En silence ,elle avançait son pied droit vers ma bouche Comprenant ce qu'elle voulait, je passais ma langue sur le cuir de sa botte Quand elle promena la fine pointe contre ma bouche ,mes lèvres s'entrouvrirent d'elles mêmes pour la sucer Ça n'avait rien d'agréable , mais j'étais heureux d'accomplir le geste qui inaugurait mon séjour chez elle Elle me donna sa botte gauche pour que je fasse de même,puis elle prit la laisse pour me faire rentrer dans le bâtiment

J'avais bien eu des pressentiments ,mais ce qui s'offrait à ma vue dépassait ce que j'aurais pu imaginais Une vingtaines d'hommes nus étaient accroupis dans ce qui était en effet une ancienne écurie Je ne voyais pas leur visage, car les uns étaient installés face au mur, les autres devant les stalles des chevaux La pièce était éclairée par de gros cierges rouges posés sur des appliques murales Je fis à peine attention aux objets accrochés aux murs ou posés sur des étagères: fouets,cravaches,godemichés,chaînes,menottes.... D'autres instruments que je ne connaissais qu'en photo étaient installés sur le sol recouvert de linoléum ; au milieu ,une cage cubique ,tout autour ,des carcans;une croix de st André;au plafond , une poutre épaisse garnie de chaînettes et de bracelets en cuir Le plus impressionnant de tout , peut être ,était le doberman qui accompagnait fidèlement sa maîtresse Notre Maîtresse

Les seuls éléments de confort , dans cette salle austère , étaient deux fauteuils Voltaire placés à l'autre bout de la pièce J'eus un instant la sensation d'être plongé dans un rêve ou de tourner dans un film; tout ce qui m'entourait était bien réel Il me suffisait , pour m'en convaincre , de sentir le cadenas qui pesait sur mes couilles , les menottes fermées sur mes poignets, et surtout cette femme qui me toisait d'un air hautain Elle boucla sur mon cou le collier muni d'une médaille avec un numéro

• Ici , tu n'es que le numéro 16

Du bout de sa cravache , elle faisait ballotter ma verge

• Tu bandes , c'est bien

Je me surpris bêtement à éprouver de la fierté u lieu de me sentir humilié par ses paroles et par son attitude envers moi J'allai rejoindre les autres soumis,je m'accroupis à coté de l'un d'entre eux,devant un box C'était une cellule :la grille qui la fermait, le matelas posé a même le sol, les chaînes et les anneaux fixés en différents endroits ne laissaient planer aucuns doute Ce qui me sidérait le plus,c'était le fait que j'obéissais ,au doigt et à l'oeil, comme tous les hommes présents Deux autres arrivèrent peu après moi , pour subir le même sort que moi Nous étions vingt entre les mains de Ma Maîtresse Elle nous fit mettre en cercle à genoux , au milieu de la pièce Nous avions la tète penchée vers le sol Aucuns d'entre nous n'osait rencontrer le regard des autres La pensée que j'aurais pu me trouver en présence d'une personne de connaissance me fit frémir Même si cela avait été le cas , c'était trop tard , de toute façon

• Vous voilà au complet , annonça Maîtresse Vous pouvez d'ores et déjà me remercier , car vous avez été sélectionnés parmi une centaine de candidatures. Je préfère vous avertir tout de suite :dans trois jours ,à la fin du stage , un certain nombre d'entre vous seront éliminés au fur et à mesure des épreuves que vous aurez à subir. Les meilleures auront une chance de devenir mes futurs esclaves J'en ai eu deux à mon service pendant plusieurs années ; je les ai offerts récemment à d'autres dominatrices. Les places sont donc libres.

Je l'écoutais en frémissant, à la fois tourmenté et fasciné Ce que disait La Maîtresse m'ouvrait des horizons insoupçonnés, bien au-delà des séances passagères que proposaient la plupart des dominatrices Des images brutales et confuses se bousculaient dans mon esprit Quelle pouvait être l'existence d'un soumis dévoué vingt -quatre heures sur vingt-quatre à sa Maîtresse ? Quoiqu'il en soit , moins d'une heure après mon arrivée en ces lieux , j'étais déjà loin de l'univers restreint de mes fantasmes et de mes magazines

• Penchez vous en avant , le front sur les avant bras repliés au sol

Elle faisait le tour du cercle que nous formions Notre Maîtresse examinait nos pieds , plus particulièrement l'état de propreté de nos orteils Elle se fâcha en constatant qu'un homme avait les ongles sales

• Tu te fiches de moi , espèce de vermine! J'exige une hygiène impeccable!
• Oui Maîtresse ,je ...
• Tais-toi ! Tu es exclu du stage.Mais d'abord tu vas être puni

Le noir fit entrer l'homme à l'intérieur de l'un des box en le tirant par la laisse Le soumis s'allongea ,à plat ventre , sur le matelas Maîtresse accrocha elle-même à l'anneau du collier une chaînette fixée au mur

• Tu vas rester la tout l'après midi .Après tu partiras

Je m'étonnais de la passivité de cette homme qui subissait sans broncher une débandade aussi humiliante Plus tard ,je compris qu'un soumis , surtout s'il désire devenir un esclave , est prêt à tout accepter d'une Maîtresse : il espère , en supportant toutes sortes de brimades ,réussir a la séduire Elle referma la grille du box et annonça que nos épreuves allaient débuter Nous nous sommes remis à genoux

• En premier lieux , vous allez vous confesser l'un après l'autre Numéro un!

Suivant les directives de notre Maîtresse ,l'homme raconta sa vie dans les détails les plus intimes Il vivait seule , rencontrait de temps en temps à autre des dominatrices ,pour des séances d'une heure Maîtresse lui posait des questions précises , auxquelles répondait sans se dérober, il n'avait sucé un homme, ni bu le "champagne intime" d'une femme

• Je vois que tu as encore beaucoup à apprendre dit elle avec un sourire de mépris

Je pensais avec une certaine inquiétude que nous aurions sûrement droit aux épreuves qu'elle venait d'évoquer. Elle prenait notes dans un carnet noir Le numéro deux prit la paroles à son tour Il avait une amie qu'il voyait épisodiquement Il n'avait jamais rencontré de Dominatrice

• Je suppose ,que tu n'en as pas parlé à ta putain?
• Non Maîtresse
• Tu es un lâche .Enfin je verrai si tu te montres à la hauteur de ce que j'attends

Un autre soumis révéla qui se masturbait chaque soir en pensant à elle

• Ne compte pas sur moi pour que ça continue, rétorqua t elle sèchement tu es pas la pour te branler.Ta pauvre queue ne m'intéresse pas

Les uns après les autres , les soumis se firent humilier par des répliques cinglantes Je frémissais intérieurement à l'idée que ce serait bientôt pour moi de parler devant cette femme que de lui écrire bien à l'abri , dans l'intimité de mon appartement La gorge nouée , je relatais les expériences limitées que j'avais eues avec ma compagne, jusqu'à ce que celle-ci me quitte Je me sentis obligés de dire à Maîtresse qu'ellerefusait de me suivre dans ce genre de pratiques

• Tu ne lui plaisais pas ,un point c'est tous Estime toi heureux que je m'intéresse a toi
• Oui Maîtresse
• As tu déjà essayé de te sucer?
• Non Maîtresse
• C'est ma manière préférée de voir jouir un soumis

Elle ajouta

• Ceux auxquels j'accorde ce privilège

Cet échange de paroles suffisait à me convaincre que cette femme était plus sévère , plus vicieuse que je l'avais imaginé Elle me posa encore quelques questions touchant à mes talents domestiques:cuisine,vaisselles,ménages,repassage... Incapable de lui mentir , je fus obligé d'avouer que je n'étais pas très doué dans ce domaine

• Bien sur ,répliqua Maîtresse. Tu estimes ,comme la plupart des mecs , que c'est une tache réservée aux femmes

J'achevai ma confession en racontant ce que j'avais fait le matin avant de venir Curieusement ,après m'être livré de manière aussi intime ,j'éprouvais un certain soulagement;je me sentais libérer Celui qui portait le dernier numéro venait de terminais son récit

-J e suis contente d'avoir affaire à de nombreux novices Je préfère.Pour les autres , qu'ils ne s'attendent pas à retrouver en moi,une dominatrice comme celles qu'ils ont pu connaître Je ne suis pas là pour jouer. Passons à autre chose

Maitresse prit un godemiché sur étagère .Je tremblais ; il était beaucoup plus gros que le tube à cigare que j’avais utilisé le matin Maitresse s’accroupit derrière un homme Après avoir lubrifié son anus avec une crème grasse, elle le pénétra avec le gode En voyant l’homme se cambrer, je frémis d’appréhension, me demandant si j’allais pouvoir supporter cette épreuve Quand le sexe artificiel fut enfoncé jusqu’au bout, elle passa au numéro suivant Quand ce fut le tour du onzième d’être sodomiser », l’homme poussa un gémissement :

• Non …Maitresse …j’ai… je ne peux pas.

La sanction fut immédiate

• Je déteste les minables fantasmeurs dans ton genres .tu es exclu

Le Noir prit l’extrémité de la laisse et entraina le soumis dans son box Comme le premier, il fut attaché a plat ventre sur le matelas Quand Maitresse s’approcha de moi, j’essayai de faire le vide pour détendre mes muscles et mes nerfs

• Présente –moi ton cul !!

Elle lubrifiait mon anus avec la crème Je me cambrai pour lui montrer ma docilité Malgré la peur que j’éprouve, j’étais excité à la pensée d’être sodomisé par elle Elle travaillait mon anus avec un doigt ganté de caoutchouc, puis deux, j’eus un frisson quand le bout effilé du gode força ma bague anale Mes sphincters, bien que relâchés, laissèrent pénétrer l’engin Cela ne m’empêchait pas d’avoir mal Elle prenait tout son temps pour l’enfoncer

• Ca te fait bander, petite cochonne ! Je vois que ça te plait
• Oui, Maitresse

Mon sexe était devenu tout dur. C’est à peine si je fis attention à la manière dont elle s’était adressée à moi en me féminisant Le gode fut bientôt entièrement fiché en moi Des lors, je ne pensais plus qu’à l’engin qui me tiraillait mes entrailles Je reçus comme marque d’affection la caresse distraite que me fit Maitresse , du gland jusqu’aux couilles, avant de me laisser Un soumis est sensible au moindre geste de sa Dominatrice Je devais avoir plus d’une fois l’occasion de le constater Une intonation de la voix, un signe tendre de la par de sa Maitresse sont ressentis par le soumis comme preuve qu’elle s’intéresse a lui Dés que nous fumes tous engodés, elle nous donna l’ordre, de nous relever Ce fut beaucoup plus pénible, dans cette position, de garder le godemiché Les uns se mirent debout en s’adossant au mur ; les autres, dont je faisais partie, s’appuyèrent contre les grilles des box, Maitresse s’adressa au Noir :

• Antoine a toi de jouer

Sur ce, elle nous quitta L’ensemble que nous formions me parut soudain totalement invraisemblable Nous étions une vingtaine d’hommes, venus de leur plein gré Nous avions les menottes aux poignets Pas un seul d’entre nous n’esquissait le moindre geste de désobéissance ou de rébellion Méthodiquement, l’homme s’occupait de chacun de nous Il commençait par ouvrir nos menottes pour faire passer nos bras devant Puis il les refermait bouclait une autre paire sur nos chevilles Il fixait une courte chaine à l’anneau derrière notre collier, accrochait L’autre extrémité à un anneau fixé au mur ou, dans mon cas, à une des grilles J’éprouvai un soulagement quand il défit le cadenas bloqué sur mes couilles

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